ḥeleḳ 1. A-Ṭ -- ḥeleḳ 2. Y-S -- ḥeleḳ 3. ʻA-T.

Translation of: Talkhaios kitaab al-Akhlaaq, book 4.

The original work has been a favorite of both scholars and laypeople for its straightforward style, in contrast to other medieval writings on ethics that are largely theoretical and reflective.

Text Is In English, Hebrew And Arabic. American Academy For Jewish Research, Proceedings, V8, 1937-1938.

The Exalted Fath: Ha-Emunah ha-Ramah Transleted by Solomon Ibn Lavi, Ha-Emunah ha-Nissaʼah Transleted by Samuel Ibn Matut, The Anonymous Commentary to HaEmunah ha-Ramah.

Shaʻar ha-ṭohorah. Liḳuṭim mi-Sefer ḥasidim -- Śiḥot u-maʼamarim.

RésuméTechnê iatrikêde Galien a été traduit en hébreu trois fois. Deux fois dans le midi, autour de l'an 1199: d'abord, à partir de la version latine de Constantine l'Africain, par un médecin anonyme qui utilisait le pseudonyme “Doeg l’Édomite”; et une seconde fois de l'arabe, par Samuel Ibn Tibbon à Béziers, laVorlageétant maintenant la version arabe de Ḥunayn Ibn Isḥāq (al-Ṣināʿa al-ṣaġīra), accompagnée par le commentaire de ʿAlī Ibn Riḍwān. (La paternité de Samuel Ibn Tibbon de (...) cette traduction a été contestée, mais elle est établie dans l'article de Gad Freudenthal dans ce numéro d’ASP.) Une troisième traduction, encore une fois du latin et comprenant le commentaire d'Ibn Riḍwān, a été réalisée par Hillel ben Samuel à Rome à la fin du XIIIesiècle, mais elle n'entre pas dans notre sujet.Nous présentons leTegniet décrivons son histoire. Puis nous posons la question pourquoi cet ouvrage a été traduit en hébreu deux fois exactement au même moment et dans la même région. Nous montrons que les deux traducteurs ont répondu à un besoin des médecins juifs lisant seulement l'hébreu. Doeg réalise sa traduction dans le cadre de son vaste projet de mise à disposition en traduction hébraïque de la plus grande partie du corpus de l’école de Salerne. Samuel Ibn Tibbon, pour sa part, a traduit leTegniavec le commentaire d'Ibn Riḍwān parce que, après avoir été médecin, il évoluait graduellement vers la vocation d'un traducteur de l'arabe en hébreu d’œuvres philosophiques et ce texte médico-philosophique était en adéquation avec cette évolution d'un médecin avec des intérêts philosophiques vers un scientifique-philosophe. (shrink)

RésuméSamuel Ibn Tibbon est connu surtout comme le traducteur du Guide des Égarés de Maïmonide et comme l'auteur de l’œuvre cosmogonique audacieuse d'inspiration avicennienne Ma'amar Yiqqawu ha-mayim. Le fait que Samuel Ibn Tibbon soit également l'auteur de la traduction d'arabe en hébreu du Tegni de Galien avec le commentaire d'Ibn Riḍwān, connu sous le titre d’al-Ṣināʿa al-ṣaġīra, est attesté par les colophons de deux manuscrits, mais a récemment été nié. La question n'est pas sans importance, car, si (...) Ibn Tibbon est bien l'auteur de cette traduction, alors, comme l'avait observé Steinschneider, le commentaire de ʿAlī Ibn Riḍwān est la première traduction d'arabe en hébreu d'une œuvre d'un auteur musulman. Dans cet article je réfute les arguments contre l'attribution de la traduction à Ibn Tibbon, et, au contraire, je montre positivement qu'un examen systématique des données confirme qu'il en est bien l'auteur. Je procède notamment par un examen de l’évolution du vocabulaire philosophique d'Ibn Tibbon, espérant que ses résultats seront utiles au-delà de l'objectif immédiat qui l'a déclenché. Cet article accompagne l'article: Gad Freudenthal et Resianne Fontaine, “Philosophy and medicine in Jewish Provence, Anno 1199: Samuel Ibn Tibbon and Doeg the Edomite translating Galen's Tegni”, publié dans ce numéro d’ASP, 26, pp. 1–26. (shrink)

The author is one of the greatest contemporary authorities on Classical Jewish philosophy. He applies his vast scholarship to probe into the inter-relationship between medieval Jewish philosophy and the cabala. The profound and daring speculation of the theosophists of the early cabala did not fail to provoke a violent reaction on the part of Jewish scholasticism, and the two long studies in the present volume try to analyze two cases of such antagonistic relationships. The first of the studies is a (...) comparison of the philosophico-theological treatise of Samuel Judah Ibn Tibbon, "The Reconciliation of Philosophy and the Religious Law," with a treatise on the Spanish cabalist Jacob ben Seset. While in this study we see the confrontation of the spirit of Averroes with the cabalistic inspiration, the second essay is devoted to a treatise from the fourteenth century, written by Joseph ben Abraham Ibn Waquar, in which philosophical and cabalistic elements are intimately interwoven in one and the same work. To the two major studies are added ten highly interesting short treatises on cabalistic notions and texts, making the present books together with the writings of Gershon Scholem the most important monument to cabalistic scholarship available in a Western language.—M. J. V. (shrink)

Kerekh 1. Derashot: Shir la-maʼalot ha-anaṿah. Derashah le-Shabat shuvah shenat 670. 8 Derashot -- Kerekh 2. Maʼamarim: Maʼamar levanah ; Maʼamar Daṿid ; Shev de-neḥemata.

Chapter 1 The Author: Life and Works 1 . Historical and Cultural Background In the twelfth and thirteenth centuries, the Jews of southern France (the Midi, ...